C’est une affaire qui a bouleversé la France.
En 2003, la mort de l’actrice Marie Trintignant sous les coups de son compagnon Bertrand Cantat, icône charismatique du rock français et leader du groupe Noir Désir, marque durablement la société française. 20 ans plus tard, ce documentaire en 3 épisodes de 40 minutes revient sur cette affaire et les questions qu’elle soulève encore aujourd’hui : violences faites aux femmes, omerta et traitement médiatique.
Avec des témoignages inédits, 60 sources d’archives et une enquête approfondie, cette série propose une rétrospective sans concession sur une affaire qui a secoué l’opinion publique.
Notre série documentaire entend lever le voile pudiquement posée sur une Corse contaminée par la violence, l’argent sale et la loi du silence.
Encore, aujourd’hui, parler à haute voix de la Brise dans un bar de Bastia ou un restaurant de Corte est une gageure…
Comment cette emprise s’est construite ? Comment la Brise de Mer a-t-elle joué sur les ressorts de « l’exceptionnalisme » corse (la fameuse « insularité »), entre omerta ancestral et intense maillage social ?
Comment les voyous se sont joués de la puissance publique ?
Comment l’État français, souvent aveugle, parfois complice, les a laissés prospérer ?
Grâce à des témoignages inédits, du premier commissaire à avoir croisé la route du clan au dernier repenti à avoir partagé le quotidien des fils de la Brise de Mer, Vendetta raconte cette incroyable saga. Cette histoire inédite, pleine de fureur et de larmes, d’argent et d’ambitions, de trahisons et de vengeance, permet de mieux comprendre la nature de cette violence qui a pris en otage l’île de Beauté.
Car si l’âge d’or de la Brise est révolu, son héritage reste plus vivace que jamais. La vendetta la perpétue, et surtout son empreinte est partout dans les consciences, dans cet alliage de violence radicale et de corruption des élites qui gangrène la Corse, devenue au fil des années la région la plus meurtrière d’Europe ».
Cette vidéo donne la parole à quatre patients atteints de cancer : Amélie et Caroline, toutes deux touchées par un cancer du sein, Stéphane, atteint d’un cancer de l’estomac, et Jérémy, d’un cancer testiculaire. Avec transparence et sincérité, ils partagent leur parcours de soins et témoignent de l’importance des pratiques extra-médicales qui les ont particulièrement aidés dans leur combat contre la maladie. Yoga, sophrologie, plongée sous-marine, nutrition, initiation à la peinture… Autant d’activités qui se sont révélées être de véritables soins réparateurs.
La guerre en Ukraine s’enlise depuis trois ans. Dans ce conflit, il est une victime silencieuse et presque invisible : l’enfance. Traumatisée, amputée, déportée, elle n’est pratiquement jamais évoquée. C’est pourtant l’avenir du pays. L’Ukraine compte 7,5 millions de mineurs. Plus de 4 millions ont été déplacés depuis l’invasion russe. Un enfant sur cinq présente des signes de stress post-traumatique. Cette guerre a détruit leurs familles et bouleversé leurs vies. Alors que la priorité de l’Ukraine est de sauver des vies et de repousser l’ennemi, le pays a-t-il les moyens de soigner ces enfants traumatisés ?
En plein cœur de l’Europe se déroule un conflit à la fois hyper-technologique et barbare. La guerre en Ukraine charrie des images de missiles hypersoniques et de tranchées détrempées. Des annonces de milliards d’euros d’armes livrées secrètement et des découvertes de charniers. Dans cette guerre qui s’enlise depuis trois ans, il est une victime silencieuse et presque invisible… l’enfance. Traumatisée, amputée, déportée, elle n’est pratiquement jamais évoquée. C’est pourtant l’avenir du pays. L’avenir de mon pays.
Je m’appelle Tetiana Pryimachuk et je suis née en Ukraine. J’ai quitté Kiev pour la France en 2005 mais toute ma famille est restée là-bas. Mon père est chirurgien, ma mère, pédiatre et mon petit frère est chirurgien lui aussi, dans un hôpital de campagne sur le front.
L’Ukraine compte 7,5 millions de mineurs. Plus de 4 millions ont été déplacés depuis l’invasion russe. Un enfant sur cinq présente des signes de stress post-traumatiques. Cette guerre a détruit leurs familles. Bouleversé leurs vies. Marqué leur chair ou leur âme, à jamais. Ces mineurs, il faut les soigner. Mais ce pays, mon pays, peut-il bien prendre soin de ses enfants quand la priorité est de sauver des vies et de repousser l’ennemi ?
Je suis partie à la rencontre de ces mineurs traumatisés et des adultes qui les aident à se reconstruire. Je veux vous raconter leur histoire avec mon regard, celui d’une journaliste, mais aussi d’une Ukrainienne et d’une mère.
On l’appelle déjà le « procès du siècle », et chacun.e comprend qu’il y aura un avant et un après. Le procès dit des viols de Mazan a rendu mondialement célèbre Gisèle Pelicot, épouse droguée pendant dix ans par son mari et livrée inconsciente à des dizaines de violeurs. Mais ces quatre mois d’audience hors norme ont aussi porté à la connaissance du grand public la notion de soumission chimique.
Porté par Caroline Darian, fille de la victime et fille de son bourreau, Soumission chimique, pour que la honte change de camp prend le procès Pelicot pour fil rouge, mais le film s’intéresse aussi à d’autres victimes. Autant de cas de figure révélateurs de ce qui était jusqu’à aujourd’hui le point aveugle des violences sexuelles.
Zoé, 33 ans, ne se souvient pas de cette nuit de la Fête de la musique où elle a été droguée et violée.
Céline, 46 ans, connaît son agresseur, son patron de l’époque, mais souffre elle aussi d’amnésie du fait des somnifères administrés.
Léa, 22 ans, a bu le verre que deux jeunes militaires lui tendaient en boîte de nuit et, malgré l’aveu de l’un d’eux, elle attend toujours de trouver justice.
Rénald, 48 ans, a su se reconstruire et surmonter la honte éprouvée à l’époque de n’avoir pas pu échapper à son violeur.
Katia, 53 ans, a, comme toutes les autres victimes de soumission chimique, suivi de près le procès de Dominique Pelicot. Elle-même garde une colère contre la justice : contre toute attente, le jeune banquier accusé a été acquitté.
Si Lilwenn, 16 ans, a pu obtenir réparation, c’est grâce à des prélèvements capillaires effectués à temps, preuve indispensable de la soumission chimique.
Que la justice se donne les moyens, que les victimes relèvent la tête et qu’enfin la honte change de camp : c’est l’objectif affiché de Soumission chimique, pour que la honte change de camp.
Alex et Charlie sont des hommes transgenres. Ils ont 16 et 26 ans. L’un est escrimeur, l’autre nageur. Comme tous les jeunes de leur âge, ils veulent continuer de pratiquer leur sport. Mais comment ? Face au silence de leur fédérations, Alex et Charlie tentent de se faire une place coûte que coûte.
Alors que les sportives transgenres cristallisent tous les débats et les controverses, les hommes transgenres sont complètement absents des réglementations. En mêlant deux portraits, ce documentaire interroge leur place dans le sport et les compétitions.
Plongez au cœur de la vie de l’une des artistes les plus influentes et populaire de la scène musicale française !
Pendant deux ans, l’artiste a ouvert son quotidien aux caméras, offrant bien plus qu’un simple portrait : un voyage intime, explorant l’identité, l’équilibre entre succès et vie personnelle, et les défis des femmes dans l’industrie.
Dans ce documentaire où elle se raconte, Vitaa revient sur les moments marquants qui ont jalonné son parcours :
• Ses débuts déterminants avec “Confession nocturne”, le duo avec Diam’s qui l’a révélée au grand public.
• Le succès monumental de l’album “VersuS” avec Slimane, un tournant qui a redéfini sa carrière. • Les épreuves et obstacles rencontrés, des échecs aux dures réalités du show-business.
• Les doutes et pressions de la célébrité, où l’euphorie côtoie parfois le poids des responsabilités. Au-delà de la scène, ce documentaire dévoile des fragments précieux de la vie intime de Vitaa :
• Des moments tendres avec sa famille et ses enfants, offrant un regard nouveau et méconnu sur celle qu’on croit connaître.
• Des témoignages exclusifs d’amis proches et d’artistes comme Amel Bent, Carla Bruni, Dadju, Gims, Matt Pokora, Slimane, Tony Parker et bien d’autres.
• Avec sincérité, le documentaire revient aussi sur l’épreuve bouleversante du homejacking récent, révélant la force de Vitaa dans les moments les plus sombres.
Un portrait sincère, captivant et profondément humain, qui dévoile enfin l’essence de la femme derrière l’icône.
Pour promouvoir la 7ème édition du Forum de Paris sur la Paix et sensibiliser aux grandes thématiques abordées lors de l’événement, nous avons produit une série de podcasts autour de sujets d’actualité comme les rapports Nord/Sud, le climat, la nutrition, l’IA en donnant la parole à des experts internationaux.
En Irak, faute d’eau, les marais de Mésopotamie sont à l’agonie. Face à cette catastrophe annoncée, un homme se bat pour préserver un écosystème qui fut l’un des plus riches au monde et la population autochtone qui en dépend.
Il s’appelle Jassim Al Asadi. L’an dernier, il a été enlevé, séquestré et torturé durant plusieurs jours. Dans ce pays, les menaces contre les militants écologistes sont monnaie courante. Mais alors que la plupart ont fui à l’étranger, Jassim a décidé de continuer son combat, coûte que coûte. Avec lui, une génération de jeunes militants s’éveille et ne se résout pas à la fatalité. Ensemble, face aux enjeux économiques et géopolitiques, ils luttent pour la sauvegarde d’un patrimoine et d’un idéal. C’est l’espoir d’un autre Irak qu’ils dessinent.
Quelle histoire ! Enquête sur la toile est une série documentaire captivante qui plonge au cœur de chefs-d’œuvre de la peinture pour révéler les histoires méconnues des personnages qui y sont représentés. À travers une enquête minutieuse, chaque épisode explore une figure intrigante, souvent oubliée, mais dont le destin éclaire une époque et ses enjeux.
Grâce aux outils du numérique et à une investigation originale appliquée à l’histoire de l’art, cette série propose un regard inédit sur des figures invisibilisées et les réalités historiques qu’elles incarnent.