Agence CAPA
 

Madeleine, une petite fille de huit ans, est l’unique rescapée et par conséquent témoin du triple meurtre de ses parents et de son petit frère de quatre mois. Mais la fillette, traumatisée, est complètement amnésique et mutique. L’enquête est confiée à Benoît Belgarde, commandant de police singulier et père de quatre enfants (et qui en attend un cinquième), qui est bien déterminé à retrouver le ou les coupables. Afin de venir à bout du choc post-traumatique qui affecte Madeleine, il choisit de faire appel à Marie Kempf, une ex-pédopsychiatre aux méthodes particulières. Celle-ci accepte mais impose une condition : qu’il rouvre l’enquête sur la mort de Lila, sa fille adolescente, qui s’est apparemment donné la mort trois ans auparavant…

Suite à la condamnation injuste et au suicide de leur chef de groupe, trois flics de la PJ ont la tentation de franchir la ligne rouge. Faisant ainsi front à la machine administrative qui, par son inertie et son indifférence, a conduit leur ami jusqu’à la mort. Harcelés par l’IGS, ils tournent définitivement le dos aux règles établies et à leurs illusions ; ces trois flics adoptent un mode de vie hors norme régi par l’adrénaline, la prise de risque, les coups bas, l’argent, le sang et la mort… Chaque pas supplémentaire fait sur le territoire des voyous rend plus difficile le retour en arrière.

Lorsque Marie-Laure, mère de quatre jeunes enfants, apprend brutalement que le cancer qui la ronge ne lui laisse que quelques mois à vivre, elle ne songe plus qu’au bonheur de ses enfants et à leur avenir. Bien décidée à ce qu’ils grandissent ensemble dans une même famille, elle se heurte à la rigidité des services sociaux qui lui opposent une fin de non-recevoir. Révoltée, Marie-Laure ne s’avoue pas vaincue. Grâce à l’aide de ses proches et des médias, elle mène un combat acharné pour le droit à décider du sort de ses enfants après sa mort, en choisissant elle-même la famille d’accueil.

Il s’agit de l’adaptation du livre autobiographique écrit par Marie-Laure Picat, Le Courage d’une mère.

Dotée d’un fort tempérament, la commissaire divisionnaire Martine Monteil est la première femme nommée à la tête de la prestigieuse Brigade Criminelle. Profondément marquée par le meurtre d’une victime du « Tueur de l’Est Parisien », elle s’est fixée comme priorité absolue de traquer ce dangereux psychopathe. Malgré sa détermination à faire progresser l’enquête, elle est contrainte de recourir à des procédés parfois peu appréciés de sa hiérarchie. Ainsi, pour mettre toutes les chances de son côté, elle entreprend de faire collaborer des services parfois rivaux. Son but : imposer la création d’un fichier des empreintes ADN pour confondre Guy Georges. Mais Monteil doit également se battre contre les préjugés de ses collègues et leur comportement sexiste…